Donnons au pauvre avec compassion ; non pour être vu ou admiré, moins encore pour en faire notre obligé. Mais sachons le secourir par pure sympathie.
Gardien de l’orphelin
Quand un enfant est laissé sans protecteur naturel, Dieu intervient et se fait son gardien.
Tout est accompli
La mort de Jésus-Christ est l’accomplissement historique du plan conçu par Dieu. Il ne faut pas considérer Jésus comme un martyr. Sa mort n’est pas…
La révélation nécessaire
Quelle différence entre un simple idéal moral et une révélation de Dieu !…
Amour ou combat ?
L’amour, ce sentiment emprunt de délicatesse et de paix, de respect et de compréhension, a-t-il quelque chose à…
Les compassions de Jésus
L’amour de Dieu est un amour profond, durable et concret. Son amour, Dieu l’a manifesté en la personne de Jésus-Christ…
Quelle couronne ?
Les êtres humains s’imposent toutes sortes d’abstinences pour obtenir des couronnes corruptibles…
Nos regards
Le regard peut être hautain, curieux, paisible, provocateur, profond, superficiel, pétillant ou éteint… Il reflète, en quelque sorte,…
Un père rempli de compassion
Il n’y avait que son père pour reconnaître dans ce misérable pèlerin, amaigri et couvert de haillons,…
Jésus savait ce qu’il allait faire…
Jésus savait ce qu’il allait faire…
Exminez ce qui est agréable au Seigneur
« l existe une maxime qui dit : « En avril, ne te découvre pas d’un fil ; en mai, fais ce qu’il te plaît ». Cela bien sur, en rapport avec le climat.
Faire ce qui nous plaît, voilà bien ce que beaucoup veulent faire. Nous entendons dire : « je fais de ma vie ce que je veux, je suis libre », mais malheureusement, cela n’amène qu’égoïsme, indifférence, insouciance, irrespect. »
Une si petite foi !
Avant tout, cette si petite foi nous apprend qu’heureusement, Dieu nous aime ! Si ce jour-là, Jésus avait traité ces hommes selon leur foi, tous seraient morts noyés. Quel amour, quelle compassion, quelle bonté et quelle patience Dieu a pour vous et moi.
Pourquoi faire de la peine ?
Six jours avant sa dernière Pâques, Jésus se trouve à Béthanie où un souper lui est offert par Simon. Au cours du repas, Marie apporte un vase plein de nard pur de grand prix qu’elle verse sur la tête de Jésus : marque d’honneur, d’adoration, de reconnaissance en réponse à la miséricorde et la compassion de Jésus-Christ qui avaient vivifié son âme (Luc 10/38 à 42).
Salut acquis
Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde mais pour que le monde soit sauvé par lui.
Ami, comptiez-vous jusqu’à présent sur la religion, sur les œuvres, sur les mérites pour être sauvé ?