Lecture complète : Marc 14:3-9
Six jours avant sa dernière Pâques, Jésus se trouve à Béthanie où un souper lui est offert par Simon. Au cours du repas, Marie apporte un vase plein de nard pur de grand prix qu’elle verse sur la tête de Jésus : marque d’honneur, d’adoration, de reconnaissance en réponse à la miséricorde et la compassion de Jésus-Christ qui avaient vivifié son âme (Luc 10:38 à 42).
Pour cette journée qui se présente, Jésus, merci ! Merci pour ton enseignement qui procure la sérénité, merci pour ton soutien dans les circonstances ou situations qui se présenteront.
Ceux qui étaient au repas n’ont pas tous apprécié ce geste : indignation (v.4), irritation (v.5) :
« A quoi bon perdre ce parfum ? »
dirent-ils. Pour eux, c’était un geste inutile, une action perdue.
Quelle peine, quelle déception pour cette femme qui exprime sa reconnaissance à celui qui avait manifesté tant de miséricorde à son égard : Jésus-Christ, le Fils de Dieu.
Aussitôt, celui-ci interviendra :
« Pourquoi lui faites-vous de la peine ? »
En effet, pourquoi faire de la peine ? Y a t’il une raison pour que nous fassions de la peine, pour que nous fassions souffrir quelqu’un ?
Pourquoi ? Ceux qui font souffrir autrui devraient se poser la question : Pourquoi ? Peut-être découvriraient-ils alors qu’ils ont besoin de paix intérieure, Jésus veut la leur donner (Jean 14:27), afin qu’ils la partagent avec les autres et contribuent à leur bonheur.
Jésus a pris la défense de cette femme. Jésus aide, console, encourage toujours ceux qui ont confiance en lui. N’est-il pas l’ami qui est venu pour guérir ceux qui ont le cœur brisé (Luc 4:18) ?
Bien-aimés, en ce jour, avec Jésus-Christ, par la foi, accomplissons la loi royale :
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Jacques 2:8),
C’est l’action agréable à Dieu et qui rend heureux (Matthieu 5:11-12).
0 commentaires