Cet ennemi suprême, le diable, est un menteur dès le commencement ; mais il est tellement plausible, que comme Ève, nous sommes menés à le croire.
Jésus délivre les captifs
La présence de Jésus dérange les mauvais esprits. Il faut que l’on soit hors de sens pour croire que Jésus vient pour tourmenter. Pourtant, des milliers de gens disent et pensent cela. Ils fuient le pardon, l’amour de Dieu. Ils ne veulent pas être sauvés. La seule explication, c’est que le diable a aveuglé l’intelligence de ces gens-là pour qu’ils ne voient pas la beauté de Jésus, pour qu’ils n’acceptent pas son amour.
Vaincre pour hériter ou vaincu par la perdition ?
La Parole de Dieu cite ceux qui auront leur part dans l’étang de feu, et parmi eux… tous les menteurs ! Ceux qui sont vainqueurs sont nés de la vérité. L’utilisation du mensonge n’a jamais fait naître le bien, mais plutôt engendré la mort, la séparation, le déshonneur… Il y a les menteurs occasionnels, et ceux qui en font profession…
Veillez aux agissements du diable
Le diable est présenté par l’apôtre Pierre comme l’adversaire des croyants. Il fait tout pour s’opposer au développement de l’œuvre de Dieu. Il est comparé à un lion rugissant : il désire impressionner et semer la terreur dans les cœurs pour paralyser sa proie. Il rôde : le verbe grec signifie étymologiquement « marcher autour ».