Que chacun des membres cherche et trouve sa place pour servir dans le corps de Christ.
S’attarder en sa présence
Peu importe notre pauvreté naturelle ! Si nous savons nous attarder dans la présence de Dieu, nous serons « imbibés » de la bonne odeur de Christ et nos semblables ne pourront que le remarquer.
Confession de bouche ; croyance de cœur
Dieu demande en outre la foi du cœur. Crois-tu sincèrement à Jésus ressuscité ?
Christ et ses enfants
Par la mort il s’est acquis une postérité dont il peut dire : « Me voici, moi, et les enfants que Dieu m’a donnés. »
La vision glorieuse
Ne permettez jamais à rien de vous détourner de la vision de Jésus-Christ. C’est la pierre de touche de votre foi.
Son chant
Emmanuel, ce nom n’est pas seulement beau, mais il est merveilleux, c’est bien « Dieu avec nous »… Quelle grâce pour tous !
Le plus grand sacrifice
En ce week-end de Pâques 2019, j’aimerais partager avec vous une histoire vraie qui s’est passée dans le camp de concentration d’Auschwitz. Quelqu’un a commis un acte interdit dans le camp…
L’harmonie de l’Eglise
« La paix de Christ » est incluse également dans le fruit de l’Esprit. Elle caractérise l’Eglise primitive (Actes 9/31). Tout ce qui est fait pour enlever la paix dans l’Eglise locale sort de l’enfer. A nous de combattre par la prière pour la paix de l’assemblée locale.
La mort dans le pot
La Bible parle d’un vase pour illustrer notre vie. Et comme pour le pot de notre récit, Dieu a placé en nous tous les éléments d’une recette complète et savoureuse. Paul dit :
« Nous avons tout pleinement en Jésus-Christ » et « que la Parole du Christ habite en vous dans toute sa richesse ».
Un diadème au lieu de la cendre
Le diadème était une lame d’or pur placée sur la tête d’un individu. La tête abrite le cerveau et ses mécanismes complexes. Là circulent toutes sortes de pensées, tantôt remarquablement élevées, tantôt extrêmement mauvaises. Le meilleur semble cohabiter avec le pire.
La résurrection, notre espérance en Christ
L’apôtre appelle la résurrection de nos corps « rédemption », c’est-à-dire salut, délivrance, liberté d’un corps nouveau, glorifié, céleste en Jésus-Christ (1 Corinthiens 15/42, 54).
Qui suis-je ?
Cette question est fondamentale, car ce que nous sommes détermine ce que nous faisons. La connaissance de notre véritable identité ne peut provenir de nos œuvres, mais de la foi dans la grâce du Père céleste.