De nos jours, l’autorité parentale est un véritable souci, aussi bien pour les pa­rents que pour les enfants. Que se passe-t-il quand l’autorité parentale pose un problème ?

Tout simplement ce qu’avait prophétisé l’apôtre Paul :

« les enfants seront rebelles à leurs pa­rents » (2 Timothée 3:1 et 2).

Il y a là un rejet. Mais on a le droit de s’interroger sérieusement. S’agit-il du rejet de toute autorité ou plutôt du rejet de la mauvaise manière de l’exercer ?

En ce qui concerne le second aspect de cette question, la Parole de Dieu (la Bible) insiste pour que l’autorité parentale (qui est spirituelle) soit exercée dans un cadre équilibré : ni laxisme ni dureté (Ephésiens 6:1 à 4 et Colossiens 3:20).

Trop durs, des parents décourageront leur progéniture ; trop faibles, ils vont la cor­rompre définitivement !

La véritable autorité parentale est le résultat béni de l’œuvre de la grâce dans la vie des parents, mais aussi le fruit de l’Esprit et encore l’addition de l’exemple et de l’instruction.

« Honore ton père et ta mère » !

Notons pour conclure, qu’assortie à ce comman­dement d’obédience divine, il y a une promesse :

« Afin que tes jours se pro­longent sur la terre » !

Cela vaut donc la peine d’exercer l’autorité parentale, mais aussi de s’y soumettre de bon cœur, puisque notre bonheur en dépend.

Je crois que même si par le passé des erreurs ont pu être commises d’un côté comme de l’autre, notre Seigneur Jésus répare les erreurs des hommes.