Le royaume de Dieu

Lecture : Marc 1/15

Le royaume de Dieu ne ressemble pas à un « club privé », réservé à quelques privilégiés. Le livre de l’Apocalypse nous parle d’une grande foule devant le trône de Dieu, issue de toutes les nations et que personne ne pouvait compter (Apocalypse 7/9).

Soyons rassurés, il y a de la place dans le ciel de Dieu pour chacun d’entre nous ! Le Seigneur Jésus nous indique des conditions pour y entrer !

– Naître de nouveau :

« Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. (Jean 3/5) ».

C’est en donnant notre cœur à Jésus que nous pouvons expérimenter la nouvelle naissance.

– Devenir comme un petit enfant :

« Je vous le dis, en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas. (Marc 10/15) ».

C’est l’enfant, dans sa simplicité et son humilité, qui doit être notre modèle.

– Se faire violence :

« […] le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s’en emparent. (Matthieu 11/12) ».

Il faut faire preuve de foi et de détermination pour se saisir des promesses de Dieu.

– Faire la volonté de Dieu :

« Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. (Matthieu 7/21) ».

Il ne suffit pas d’avoir à tout propos le nom du Seigneur sur les lèvres pour être sauvé, mais encore faut-il que nous accomplissions sa volonté.

Amis lecteurs, puissiez-vous remplir ces conditions afin d’avoir part à ce royaume (Matthieu 25/34).

Jean-Pierre PERRIN

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

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Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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