Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et éternellement.

Jésus, le même hier, aujourd'hui, éternellement

Depuis l’origine des temps, l’humanité a connu trois fléaux, trois problèmes fondamentaux qui concernent notre passé, notre présent et notre avenir.
Alors pendant quelques instants nous allons ensemble réfléchir sur ces trois problèmes et je sens que déjà vous êtes en train de vous poser la question, quels sont-ils ?

Si nous pouvions avoir l’interactivité, mot à la mode, je vous inviterai à me dire ce que vous pensez lorsque je dis :

« Trois fléaux qui frappent l’humanité depuis l’origine ».

Alors je ne vais pas laisser le suspense durer trop longtemps, mais ces trois problèmes je vais les citer dans l’ordre. Bien sûr, c’est dans un contexte biblique, un contexte spirituel que je dis cela.

Tout d’abord, il y a le mal, ensuite il y a la maladie et troisièmement il y a la mort.
Le péché ou le mal, c’est le mot biblique pour désigner le mal. Ce mal remplit nos prisons, vous l’avez certainement observé, ensuite la maladie remplit nos hôpitaux et troisièmement bien sûr la mort remplit nos cimetières.
En raison du mal qui habite le cœur de l’homme, nous voyons la haine, l’envie, la jalousie, le meurtre et l’on pourrait allonger une liste fort longue.
La maladie s’attaque à notre corps et bien sûr la mort nous angoisse, nous saisi de crainte, elle est la grande épouvante, comme la désigne la Bible.

Alors, face à ces trois fléaux qui durent depuis la nuit des temps, quelles réactions ? Comment réagissez-vous ? Comment vivez-vous avec le mal qui peut nous habiter, qui nous habite ? Ce n’est pas au conditionnel, c’est une certitude ? Comment vivez-vous avec la maladie ?
La vôtre peut-être en ce moment, ou celle de vos proches, qui vous touche, puis enfin l’idée de la mort.
Souvent c’est la fuite en avant, c’est la négation. Nous réagissons et nous voulons cacher, masquer, oublier,

« Vivons l’instant présent parce que ces trois choses sont terrifiantes ».

Il y a une autre approche qui est de positiver, d’être foncièrement optimiste et je crois qu’il faut l’être, qu’il faut être positif, mais aussi d’une manière réaliste. Alors on positive et on dit :

« Oui, les progrès de l’humanité déjà considérables vont nous aider à éradiquer totalement ces trois fléaux ».

C’est la conviction de quelques uns, de beaucoup même, mais je pose cette question :

« Depuis tant de siècles, où sont les progrès ? ».

Depuis tant de siècles, en y regardant de plus près, on s’aperçoit que nous ne sommes pas venus au bout, nous n’avons pas éradiqué ces fléaux. Alors, rien ne change et je vais reprendre une parole de l’Ancien Testament qui dit

« qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil ».

Le mal existe toujours, la corruption galope toujours, la maladie aussi bien sûr.
La science, la technique, la médecine arrivent à éradiquer certaines maladies mais, hélas, nous en découvrons de nouvelles et les virus qui nous atteignent de droite et de gauche sont là pour nous le montrer, et manifester que la maladie existe toujours, je ne citerai que la grippe aviaire, c’est d’actualité.
Enfin, la mort hélas existe toujours. Bien sûr, l’espérance de vie augmente, surtout dans nos pays industrialisés, civilisés au sens de l’accès à la médecine, de l’accès à des commodités qu’il n’y a pas dans certains pays émergents.

Alors qu’en est-il de ces trois fléaux pour chacun de nous ?

Le mal, qu’on le subisse ou qu’on le pratique, qu’on en soit à l’origine, existe toujours, hélas. C’est quelque chose qui est en nous et souvent nous entendons des personnes qui ont mal agi, qui se sont mal conduites, des personnes même qui, peut-être, devant la justice doivent rendre compte de leurs mauvaises actions, vont dire :

« Mais c’était plus fort que moi, je n’ai pas pu me dominer, je n’ai pas pu me maîtriser »,

et donc, tout en regrettant certainement, même parfois sincèrement, que c’était plus fort.

La Bible nous dit que nous sommes

« …Esclaves de ce qui a triomphé de nous »

et ce qui triomphe de nous (2 Pierre 2:19), ce mal appelé péché dans la Bible, seul Dieu peut nous en délivrer, peut nous en libérer. Le mal c’est comme une gangrène et il faut vraiment la main de Dieu, une puissance extraordinaire pour l’extirper, l’arracher de notre cœur.
Et souvent, ceux qui font le mal sont les premiers victimes, malheureux de ce qu’ils ont pu commettre. Et le regret, l’amertume d’avoir fait une chose mauvaise n’y changent rien.

La maladie, pour nous même ou pour nos proches, est partagée par tous hélas.
Là encore, on peut dire que c’est quelque chose qui est partagé sans distinction par tous les êtres humains.
Nous sommes en France dans un pays assez privilégié parce que la médecine est quelque chose d’extrêmement développé, les progrès sont remarquables et des personnes consacrent leur vie entière au développement de la médecine, à la recherche, et tout cela est louable, il faut saluer cela, mais si les progrès sont extraordinaires, bien peu d’hommes sur la surface de la terre peuvent en bénéficier, en profiter.
Nous avons les vaccins, nous avons toutes ces choses mais pensons au Continent africain où encore aujourd’hui trop souvent hélas des milliers d’enfants meurent chaque jour parce qu’ils n’ont pas accès à ces progrès de la médecine.

La mort, comment oser en parler ?
Là aussi, la négation ou la sublimation, avec toutes sortes de théories, de philosophies, ou de religions qui nous disent que la mort, finalement, c’est extraordinaire, et presque on en viendrait à  la souhaiter, cela n’est pas quelque chose de biblique.
En tout cas, la Bible dit que la mort, c’est la grande épouvante, que c’est le dernier ennemi qui sera vaincu, c’est l’espérance chrétienne qui nous l’affirme.
Tous les hommes sont égaux devant la mort, et ce n’est pas la cérémonie, la longueur d’un cortège, ni la qualité d’un monument funéraire qui y change quoi que ce soit. Nous sommes tous  un jour ou l’autre appelés à mourir. La Bible dit :

« …Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9:27).

Alors quelle certitude pouvons-nous avoir ? Certains, très pessimistes, ont dit que la certitude unique que nous avons c’est qu’un jour nous devrons mourir ; d’autres un peu plus optimistes ont dit que nous avons non pas une mais deux certitudes, premièrement payer des impôts, secondement mourir.
Alors je balaye tout cela de la main, et j’en viens simplement à dire, qu’il y a un espoir en Dieu, il y a un espoir dans l’Évangile, il y a possibilité que le Christ transforme tout cela, et Il est venu pour cela.

La Bible dit que :

« Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hébreux 13:8),

cela concerne notre passé, notre présent et notre avenir et il peut Lui seul donner réponse, apporter une solution au problème du mal, de la maladie et de la mort. Il est venu pour cela.
J’aimerais simplement rappeler que le Christ est venu comme un simple homme, la Bible dit même :

« …Homme de douleur, et habitué à la souffrance… » (Ésaïe 53:3).

Il sait ce qu’est le mal, Il en a été victime, Il a souffert dans sa chair, Il sait ce qu’est la maladie au sens d’être brisé, d’être atteint dans son corps, Il a souffert de cela. Et puis également, Il a connu la mort.
Mais le message d’espoir de l’Évangile c’est que le Christ est ressuscité, qu’Il a vaincu ces trois domaines : le péché, la maladie et la mort

Chers amis, nous avons vraiment la possibilité de lever la tête , de regarder vers Lui avec espoir et de dire :

« Seigneur, Toi qui a fait cela, Tu l’as fait pour tous les hommes qui osent croire en Toi. »

Et je termine en vous posant cette question :

« Allez-vous oser croire en Lui, accepter ce que le Christ nous tend, une main salutaire, une main tendue, une main d’amour ».

Toujours, même si nous sommes chrétiens, il nous faut nous en remettre à Lui pour éradiquer de notre vie ces trois problèmes, fléaux majeurs,
– Le mal : le Christ nous dit qu’Il met en nous la capacité à penser, à agir différemment, à vivre en chrétien ouvrier de paix.
– La maladie : la Bible nous dit que le Christ a porté en son corps sur la croix nos maladies, et qu’Il nous donne la guérison,
– La mort : Il est notre Sauveur personnel et en Lui nous pouvons passer de la mort à la vie, nous avons la certitude de la vie éternelle.

En règle générale c’est l’inverse on passe de la vie à la mort mais le message de l’Évangile nous donne accès à la vie, et à la vie éternelle.
Pour recevoir tout cela, il n’y a que la foi, et la foi cela ne s’achète pas, cela ne se monnaye pas, cela ne se transmet pas.
Si vous n’êtes pas encore chrétien, c’est vous qui maintenant pouvez seul décider si, oui ou non, vous allez croire ou pas à cette main tendue du Christ.

Chrétiens, nous avons l’assurance que Jésus a réglé ces problèmes : le mal, la maladie et la mort.
Nous vivons par la foi afin de lui être agréable et nous demeurons dans sa présence par la communion du Saint-Esprit qu’il nous a donné.

par Laurent GUILLET

 

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