Ce bien triste verset souligne la profonde déception du cœur de Jésus venu « chercher et sauver ce qui était perdu (Luc 19/10) ». Le refus de l’homme manifeste l’insensibilité et l’endurcissement de son cœur.
« L’intelligence obscurcie (Éphésiens 4/18) » par le péché, l’être humain est inconscient du drame éternel qui l’attend. Au cours des siècles, il a repoussé la main tendue par Dieu en Jésus-Christ. Déjà, dans l’Evangile, nous voyons se manifester l’opposition volontaire de l’homme au plan de salut de Dieu :
• « Et vous, ne voulez-vous pas venir à moi pour avoir la vie ? (Jean 5/40) »
• La seigneurie de Jésus est refusée avec mépris :
« Nous ne voulons pas que cet homme règne sur nous (Luc 19/14) »
• « Les invités ne voulurent pas venir aux noces » du fils du roi (Matthieu 22/2, 3).
• Avant la crucifixion, Pilate demande à la foule :
« Lequel voulez-vous que je relâche, Barabbas ou Jésus, qu’on appelle le Christ ? (Matthieu 27/17) ».
Dans ce dernier mouvement de rejet, la volonté rebelle et obstinée du peuple repoussa cette proposition.
Vous qui, peut-être, avez été négligent jusqu’à ce jour quant à votre âme, laissez l’appel d’amour de Jésus vous atteindre et vous convaincre ; Dieu veut votre bien, pour aujourd’hui et pour l’éternité.
Acceptez de tout votre cœur sa volonté bonne, agréable et parfaite (Romains 12/2), car Dieu est amour (1 Jean 4/8).
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