Lecture : Philippiens 3/12 à 14

Pour prendre un nouvel élan, il convient de se servir du passé comme tremplin, et non comme un frein :

« Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n’est pas propre au royaume de Dieu. (Luc 9/62) ».

L’apôtre Paul n’avait qu’une préoccupation, celle d’avancer, de croître et c’est pourquoi il disait :

« oubliant le passé et le chemin parcouru, je tends de tout mon être et de toute mon énergie vers ce qui est devant moi, les yeux rivés au but. (Parole Vivante) ».

Pour bien prendre son élan, il faut éviter de se disperser, de dilapider ses forces en voulant poursuivre plusieurs objectifs à la fois. L’intensité de notre énergie étant le reflet de notre communion avec Dieu, il est indispensable de recharger en permanence nos batteries.

Si vous observez la préparation d’un athlète avant le saut, en hauteur ou en longueur, vous pouvez remarquer l’orientation de son regard :

« Gardons les yeux fixés sur Jésus ; dans cette course de la foi, il est notre chef de file et nous mènera au but. (Hébreux 12/2, Parole Vivante) ».

Pour bien prendre son élan, le mieux est de faire comme l’apôtre Paul : se laisser empoigner par Christ (Philippiens 3/12, Maredsous) ou encore comme David :

« L’Esprit de l’Éternel saisit David, à partir de ce jour et dans la suite. (1 Samuel 16/13) ».

Aujourd’hui, vous pouvez connaître un nouvel élan en laissant le Saint-Esprit vous inonder et renouveler votre vision.

Bernard KOWALCZYK