Soyez toujours joyeux !

Le Guide de prière : Le coût d'être un disciple

Lecture : Philippiens 3/1, 4/4 ; 1 Thess. 5/16

Il est clair qu’il est dans le plan de Dieu et la volonté de Jésus de nous donner, de nous laisser sa joie à la veille de son retour au ciel vers son Père (Jean 14/11, 16/24).

Nous sommes appelés à vivre notre vie terrestre, notre course chrétienne avec joie, malgré toutes les vicissitudes et les épreuves de cette terre. La vie qui doit triompher en nous n’est pas la vie matérielle de la chair, mais la vie éternelle que Jésus-Christ nous a donnée, la vie de l’Esprit, la vie de Christ lui-même. Cette existence que notre Seigneur a vécue sur notre terre a été dominée par la joie, malgré toutes les tristesses et les douleurs qu’il a connues. Pourquoi ? A cause du regard de son cœur toujours tourné vers Dieu, son Père. Il voyait Dieu toujours vainqueur et souverain ; il se savait oint du Saint-Esprit (Luc 4/18) et envoyé par le Père pour faire toute sa volonté (Jean 4/31-34).

Il est notre modèle. Saint Paul a fidèlement suivi les traces de son maître (Actes 20/22 à 24/24), et nous ? Vivons-nous dans cette foi ? Manifestons-nous cette joie de Jésus, d’En-Haut, surnaturelle ?

Tout dépend du regard de notre cœur également. Nous avons le conseil (Hébreux 12/2), les regards fixés !

« Gardons les yeux fixés sur Jésus, dans cette course de la foi, il est notre chef de file et nous mènera au but » (Hébreux 12/2, Parole Vivante).

Quelle joie (bis) ! Quelle joie, Seigneur, d’être ici encore aujourd’hui, pour t’apporter la reconnaissance de nos cœurs et te dire : Merci !

Jean ERARD

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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