Service communion louange

Lecture : Apocalypse 3/20

« Je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec

moi ».

Plus d’une fois, Jésus avait été reçu chez Marthe et Marie, et c’est dans ce même village de Béthanie qu’il passa plusieurs nuits avant sa mort (Marc 11/11). Nous l’y trouvons un soir à table chez un certain Simon le lépreux (Marc 14/3) ; Ailleurs, « on lui fit donc un souper » (Jean 12/1-3). Ce repas a été préparé pour Jésus, et non pour Lazare qui venait d’être ressuscité.
Marthe, Marie et Lazare sont présents au repas. Ils illustrent trois aspects de la relation d’un croyant avec son Dieu et son Seigneur.

• Marthe sert (Jean 12/2).
C’est le dévouement du croyant qui se met tout entier à la disposition du Seigneur (Romains 12/1).

• Lazare est à table (Jean 12/2).
C’est la communion paisible d’un croyant qui jouit des bienfaits que la grâce divine lui accorde (1 Jean 1/3).

• Marie offre un parfum (Jean 12/3).
C’est la louange exprimée par un chrétien qui prend conscience de l’amour de Jésus (Hébreux 13/15).

Elle se manifeste dans cette triple attitude. Marthe remplit son rôle, comme à une autre occasion (Luc 10/38-42), mais cette fois, sans se plaindre. Elle est à sa place dans son service.
Lazare est le témoin vivant de la puissance de vie en Jésus. Et Marie remplit la fonction la plus excellente de la vie chrétienne : l’adoration. Elle se prolongera pendant l’éternité.

Guy VIVIER

0 commentaires

Sur le même thème :

La plus belle récompense

La plus belle récompense

Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

Tout est accompli !

Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

Pin It on Pinterest