Regarde et crois !

Lecture : Jean 3/14 ; Nombres 21/4 à 9

Libéré de l’esclavage de Pharaon, le peuple d’Israël avance dans le désert, vers le pays de la Promesse. Dieu marche au milieu d’eux, jour et nuit. La marche dans le désert est difficile, elle ouvre la porte du cœur à la lassitude, et la tentation du découragement n’est jamais loin, hélas la critique non plus ! Ils parlent mal contre Dieu et contre Moïse, méprisent la manne, nourriture céleste.

Attention ! Ce que l’on sème, on le récolte. Dieu envoya contre eux les terribles serpents brûlants qui vont causer la mort de beaucoup. D’urgence il faut revenir vers Dieu, confesser son péché, demander à Moïse de prier l’Éternel miséricordieux (comme il est doux le pardon de Dieu). Sans rancune, ni reproches, (marques de l’homme de Dieu), Moïse va prier pour eux, et dans sa bonté, Dieu va répondre en bénissant !

« …Fais-toi un serpent d’airain (…) au bout d’une perche (…) quiconque aura été mordu et le regardera conservera la vie »

Tous, grands comme petits, peuvent s’humilier, croire et regarder, comme Dieu l’a dit. Et le miracle se produit !

Jésus dit :

« Comme Moïse éleva le serpent… il faut que le Fils de l’homme (Jésus), soit élevé, (l’annonce de la croix), afin que quiconque (vous, moi), croit en lui, ait la vie éternelle… »

Encore faut-il faire comme ceux d’autrefois, reconnaître la vérité sur notre état de pécheur. Ce que Dieu veut, c’est que tous les êtres humains soient sauvés.

Jésus ne met personne dehors. Qui voudra répondre à son invitation ?

Regarde, crois, et tu seras sauvé !

Jean LAMBERT

0 commentaires

Sur le même thème :

La plus belle récompense

La plus belle récompense

Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

Tout est accompli !

Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

Pin It on Pinterest