« Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ».
Un soir d’hiver, on sonna à la porte de la maison d’un serviteur de Dieu ; allant ouvrir, il se trouva en présence d’une petite fille trempée jusqu’aux os par la pluie qui tombait. La faisant entrer, il s’enquit de ce qu’elle désirait. Celle-ci le pria de venir voir sa maman qui, malade, était couchée avec la peur de mourir.
Accompagnant l’enfant, il se trouva bientôt dans une misérable masure humide, froide et insalubre. Dans un coin de la pièce délabrée gisait sur un grabat une femme dont la fin approchait et qui, haletante, lui dit : « J’ai vécu toute ma vie dans le vice et le péché et maintenant, je vais mourir et je sens que je vais en enfer mais je voudrais aller au ciel ! Que dois-je faire, je vous en supplie, aidez-moi !
Ouvrant sa Bible, l’homme de Dieu lui montra ce que Dieu avait fait pour qu’elle puisse y entrer. Que Dieu a tant aimé le monde (dont elle, la femme pécheresse), qu’il a donné son Fils unique, Jésus, afin que celui qui croit en lui ne périsse point mais qu’il ait (qu’elle ait) la vie éternelle. Puis, il lui parla de la croix du Calvaire où Jésus fut cloué pour ses péchés et où il mourut et ressuscita pour elle.
Puis il pria avec elle. Quelque temps plus tard, elle partait en paix, réconciliée avec Dieu, rejoignant le ciel, lieu de délices des coupables graciés. Jésus n’avait-il pas dit : Je ne mettrai pas dehors celui qui viendra à moi ?
Ami, veux-tu venir à Jésus ?
0 commentaires