Les tremblements de la terre

Lecture : Matthieu 24/7, 27/54, 28/2

On se souvient de ce terrible tremblement de terre qui, le 20 Janvier 2001, a secoué tout l’ouest de l’Inde, alors qu’on s’apprêtait à célébrer la fête nationale, dévastant en particulier l’Etat du Gujurat et détruisant la ville de Bhug !…

Ce sinistre fut ressenti jusqu’au Népal et au Pakistan. Des scènes d’horreur apparurent : un hôpital disparaissait entièrement avec docteurs, personnel et malades, de même qu’une école avec professeurs et élèves. De très nombreux enfants furent engloutis par le bitume des rues qui s’ouvraient partout. Des milliers de personnes furent ensevelies sous les immeubles qui s’effondraient. Des sauveteurs arrivèrent de partout, mais furent vite contraints d’interrompre leur tâche à cause de la chaleur lourde qui pesait et de l’odeur nauséabonde des corps en décomposition, rendant l’air irrespirable. « C’était horrible à voir », déclara un rescapé.

En effet, on dénombra plus de 20 000 morts et plus de 33 000 blessés ! Lourd bilan, mais une ville située dans ce secteur, Ahemedabad fut en partie épargnée. Il se trouvait qu’il y avait là un siège d’une association chrétienne de colportage où de nombreux membres de cette association habitaient avec leurs familles. Tous furent épargnés !
Dieu avait veillé sur ceux qui lui appartiennent, alléluia !

Souvent on entend dire : « mais s’il y a un Dieu, pourquoi permet-il cela ? »
Mais oui, il y a un Dieu !  Ce n’est pas lui qui provoque des cataclysmes, mais il annonce au monde ce qui va arriver, invitant les gens à se tourner vers lui, vers celui qui serait leur sauvegarde. Mais le comprennent-ils ?

A nous alors de leur révéler qui il est, le Tout-Puissant qui a donné son Fils unique, Jésus-Christ, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Et s’ils se tournent vers lui en se repentant et en se convertissant, Dieu les adoptera comme ses enfants bien-aimés qui jouiront de son salut en Jésus-Christ.
Dieu ne veut pas que le pécheur meure mais qu’il vive !

Jules DEPIERE †

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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