Le cordon rouge

Lecture : Josué 2 et 6/22 à 23

On raconte qu’un jour, un groupe d’alpinistes avait décidé de faire, sans guide, l’escalade d’un versant alpin. Ils se procurèrent le matériel nécessaire à la réussite de leur projet et, sans plus tarder, sans prévenir qui que ce soit, au petit matin, ils se mirent en route. Le temps était beau, les premières heures s’écoulèrent tranquillement. Tout semblait devoir aller pour le mieux ; quand soudain, dans l’escalade d’une paroi rocheuse, le groupe « dévissa » : ce fut la chute ! On les retrouva dans le ravin.

Que s’était-il passé ? La corde s’était rompue, les entraînant ainsi dans la mort. L’enquête révéla que le matériel était défectueux. Mais le commerçant auprès duquel on s’informa, examinant la corde, pouvait dire : « Ceci ne provient pas de chez nous et n’est pas conçu pour l’escalade, car dans les nôtres, nous glissons un fil rouge qui est la garantie absolue de ce matériel ! »

De même pour Rahab : le fil rouge accroché à sa fenêtre fut le gage de sa sécurité et de son salut.

Mais il est un autre « fil rouge » bien plus bénéfique encore : le sang de Jésus-Christ sur nos âmes nous assure notre salut éternel, car il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ.

Je ne veux pour ma justice, rien que le sang de Jésus

Qui me rendra Dieu propice, rien que le sang de Jésus

Précieux sang de l’Agneau, qui me donne un cœur nouveau

Rien d’autre je ne veux plus, rien que le sang de Jésus.

Jules DEPIERE

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La plus belle récompense

La plus belle récompense

Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

Tout est accompli !

Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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