C’est une parole dont l’accomplissement est à venir. Mais, dès maintenant, cette victoire est à nous, à cause de Jésus-Christ, notre Seigneur.
Bildad parlait de la mort comme du « roi dans épouvantements » (Job 18:14). La Bible dit que
« la mort est le dernier ennemi qui sera vaincu (1 Corinthiens 15:26) »
et encore, que certains
« sont retenus toute leur vie dans la servitude par la crainte de la mort (Hébreux 2:15) ».
Rien d’étonnant que ce roi des épouvantements, cet ennemi, ce despote impitoyable terrorise le monde !
Que vaut la philosophie qui préconise de défier la mort en se la donnant à soi-même ?
C’est vers Jésus-Christ que nous devons tourner nos regards : lui seul est le libérateur véritable. Sa mort volontaire à la Croix n’a pas été un suicide, mais un substitut d’une valeur expiatoire unique. Il n’a pas supprimé sa vie, il l’a donnée. Le roi David connaissait Dieu comme son berger. De ce fait, il pouvait rendre ce témoignage :
« Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi (Psaume 23) ».
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