L’Évangile, source de bénédiction

Texte Biblique : Marc 16/15-20

L’Evangile, c’est cette lettre d’amour que Dieu nous a laissée pour que nous en prenions connaissance. Dans la vie de tout être humain, l’Evangile n’est-il pas la source de bénédiction par excellence ? L’apôtre Paul brûlait d’envie d’annoncer cet Evangile aux chrétiens de Rome, car il en connaissait tous les effets dans sa propre vie. Il faut vraiment que l’enjeu soit de taille, pour que cette Bonne Nouvelle rencontre tant d’ignorance, d’incompréhension et d’opposition ! Comme le dit l’apôtre,

« le Dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence des incrédules, afin qu’ils ne voient pas briller la splendeur de l’Evangile de la gloire du Christ, qui est l’image de Dieu » (2 Corinthiens 4/4).

Alors, ami, ne veux-tu pas laisser le Seigneur Jésus ouvrir tes yeux sur l’importance de l’Evangile ? C’est l’Evangile de ton salut (Ephésiens 1/13). C’est pour toi, en effet, que Jésus est venu, qu’il a donné sa vie sur une croix, afin d’expier tes péchés. C’est pour toi qu’il a vaincu les puissances des ténèbres. C’est pour toi qu’il a manifesté la grandeur de son amour. Ce qu’il te demande aujourd’hui, c’est de ne plus lui résister, mais de recevoir avec foi la Bonne Nouvelle, en venant au Sauveur dans la repentance. C’est ainsi que tes péchés te seront pardonnés, et que tu auras une assurance, quant à ton éternité. Alors, comme l’apôtre Paul, tu pourras affirmer :

« Je n’ai point honte de l’Evangile : c’est une puissance pour le salut de quiconque croit » (Romains 1/16).

Daniel GUILLET

0 commentaires

Sur le même thème :

La plus belle récompense

La plus belle récompense

Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

Tout est accompli !

Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

Pin It on Pinterest