La gloire à venir

Lecture : Romains 8/18

Combien les souffrances du temps présent sont nombreuses. Elles peuvent être d’ordre physique, moral ou spirituel. Elles sont toutes à la fois inévitables et imprévisibles. Sur cette terre, nous comprenons rapidement que la souffrance fait partie de la vie. Et il faut bien reconnaître, à l’instar de l’apôtre Paul, que le croyant n’est pas épargné par la souffrance.

Cependant, le piège dans lequel certains sont tombés consiste à n’avoir qu’une vision limitée de la souffrance dans le temps présent. Or, Paul replace la souffrance dans le contexte de l’espérance chrétienne. Certes, il assume sa souffrance présente, mais en même temps, il voit déjà la gloire à venir. Cette façon de voir les choses nous permet de laisser la souffrance à sa juste place sans la nier ou la refouler. Ces temps de souffrance finiront bientôt et les temps que nous vivrons dans l’éternité avec Christ n’ont aucune commune mesure avec les difficultés de notre vie ici-bas. Là-haut, nous aurons un corps glorieux, parfait, exempt de toute douleur et nous serons dans une joie éternelle.

Ensemble, regardons dès aujourd’hui vers la gloire à venir. Cela nous remplira d’espérance et de joie.

Jean-Marc BOTTERON

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

Tout est accompli !

Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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