L’être humain est un éternel insatisfait. Il se plaint de tout : des conditions atmosphériques — tantôt il y a trop de pluie, tantôt trop de soleil —, de ses conditions de vie — célibataire, il voudrait se marier ; marié, il regrette le célibat —, de sa situation professionnelle — étudiant, il a hâte de rentrer dans la vie professionnelle ; employé, il regrette le bon temps des études avec ses longues vacances—, de sa situation matérielle — soit il manque toujours d’argent pour satisfaire ses ambitions, soit ses biens lui causent trop de tracas ! On pourrait multiplier à l’envi les exemples.
Avez-vous déjà croisé une manifestation dans la rue ? Certainement ! Mais en avez-vous déjà croisé une où les gens proclamaient leur satisfaction ?…
Qui l’être humain rend-il finalement responsable de son insatisfaction ? Contre qui se révolte-t-il ? Contre ce Dieu qu’il ne connaît pas, ou si mal ! (Cf. Job 23/2-5). À cela, Dieu répond que l’homme devrait en premier lieu se plaindre de ses propres péchés qui sont à l’origine de toute cette insatisfaction.
« Venez et plaidons ! dit l’Éternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme neige. (Ésaïe 1/18). »
Seul Jésus, le Fils de Dieu, mort sur la Croix de Golgotha pour débarrasser l’homme du péché et de ses conséquences, seul Jésus peut faire taire vos plaintes et vous satisfaire pleinement.
« Je connais les desseins que j’ai conçus à votre égard, dit l’Éternel, desseins qui visent votre bonheur et non votre malheur et vous assurent un avenir plein d’espérance. (Jérémie 29/11, Rabbinat) ».
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