Un meilleur rassemblement

Texte Biblique Jean 14/2-4, 17/24

Un journal local rapporte que, dans le village où il paraît, se trouvait un personnage important du pays, Monsieur L…, qui eut un jour l’idée de créer un zoo, afin d’attirer les touristes dans cet endroit isolé !… Comme il possédait de nombreux terrains, il lui fut facile de mettre son projet à exécution. De suite, il se mit à l’ouvrage. Il construisit des enclos, puis fit venir des bêtes de toutes sortes et bientôt, on y vit des lions, des ours, des panthères, des loups, etc.

Contemplant son oeuvre, l’homme envisagea d’y apporter d’autres aménagements puisqu’il possédait suffisamment de terres. Lorsqu’enfin tout fut terminé, on lui demanda à quoi ce nouvel enclos allait bien pouvoir servir ? La réponse fut surprenante, voire goguenarde : « A y mettre les badauds ! » »… Satisfaction de cet homme qui, avec orgueil, pouvait contempler son oeuvre, réunir ensemble dans sa propriété les bêtes et les humains ! … Mais, quand on pense à cette déclaration divine :

« Qu’est-ce que l’homme pour que tu te souviennes de lui, ou le fils de l’homme pour que tu prennes soin de lui (Héb. 2/6).

C’est la merveilleuse déclaration de celui qui cherche les intérêts supérieurs de sa créature, le Seigneur lui-même, l’auteur de notre salut éternel qui nous a dit :

« Je m’en vais vous préparer une place et je reviendrai vous prendre pour être avec moi !… »

 Ainsi, nous, les objets de sa grâce, nous sommes assurés d’un bel avenir là-haut avec lui et tous ses rachetés.

« Je connais un pays par delà le ciel bleu,
Où tous les bienheureux seront auprès de Dieu…
Dans la maison là-haut, où je serai bientôt
Rien ne troublera plus le bonheur des élus.

Jules DEPIERE

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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