L’incendie

Lecture : 1 Pierre 1/2 à 9

Dans la cité hollandaise de Volendam, un café de la ville avait organisé une grande fête qui portait le nom de « Réveillon du 1er Janvier 2001 ».
Elle se tenait dans une salle aménagée au troisième étage de l’immeuble. Tout avait été soigneusement programmé : orchestre, danses, chants, cotillons, serpentins… promettant un grand divertissement. Alors que la fête battait son plein, un cri soudain retentit :

« Le feu »…

Un incendie venait de se déclarer et ce fut la bousculade et la fuite vers les sorties de secours, mais horreur toutes les portes avaient été fermées à clef !

« Ce fut alors la panique déclara plus tard un rescapé. Une seule ressource nous restait, celle de sauter par les fenêtres ».

Lourd bilan : 7 morts, 130 blessés dont 49 grièvement et luttant contre la mort à l’hôpital ! … Ironie du sort, l’établissement portait un nom trompeur :

« Café du petit ciel » !

Aujourd’hui encore, ne vivons-nous pas dans un monde de tromperies, d’erreurs, de mensonges, d’illusions ? Les spots publicitaires nous inondent avec leurs produits miracles. Mais qui est capable de nous assurer

« un ciel d’éternel bonheur » ?

Loué soit Dieu qui donna son Fils Jésus afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Le plein ciel… avec lui pour l’éternité. Merci Seigneur, pour ton sacrifice à la croix, qui nous donne accès là-haut avec toi pour toujours !

« Je connais un pays, par delà le ciel bleu
Où tous les bienheureux
Seront auprès de Dieu
Je connais un rivage
Où l’ouragan n’est plus.
Où tout est pleine paix,
Car le port c’est Jésus… »

Alors viens à lui sans plus tarder.

Jules DEPIERE †

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

Tout est accompli !

Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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