L’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde

Devant prêcher au Crystal Palace de Londres, Spurgeon alla en essayer l’acoustique avec un de ses amis, le soir précédent. Il demanda à son ami de se mettre au fond de la salle tandis qu’il parlerait du haut de la chaire. Il faut dire qu’en ce temps-là, les haut-parleurs n’existaient pas encore ! Montant donc en chaire, le grand prédicateur s’écria : « Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ». Il répéta plusieurs fois ce verset pour s’assurer qu’il était bien audible en différents endroits de la salle. Après ces essais satisfaisants, il repartit avec son ami. Ce que ni l’un ni l’autre n’avaient remarqué, c’est qu’il y avait là un ouvrier occupé à terminer quelques travaux sur le toit du bâtiment.

Cet homme avait entendu le verset et était rentré chez lui saisi d’une profonde conviction de péché. Ainsi, le salut de cet homme est venu de l’écoute de ce seul verset.

Déjà, du temps où Jésus commençait son ministère sur la terre, l’ouïe de ce verset avait donné à Jean et André l’envie de suivre Jésus et de devenir ses disciples.

Jésus est, en effet, pour ceux qui croient en lui, cet Agneau sans défaut, sans tache, offert une fois pour toutes non par le pécheur, mais par l’offensé ! Son sacrifice ne permet pas seulement d’obtenir le pardon et une purification temporaire, mais il extirpe la racine du péché et libère de l’esclavage (Actes 13/38-39). « Il a paru une seule fois pour effacer (abolir) le péché par son sacrifice (Hébreux 9/26) ».

Voulez-vous, vous aussi, laisser ce verset bouleverser votre vie et vous amener à devenir à votre tour un disciple de Jésus ?

Bernard KOWALCZYK

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