Etre un héros !

Lecture : 2 Timothée 2/20-26

Y a-t-il encore des héros ? Dieu veut nous voir devenir des héros pour sa cause, des jeunes gens et des jeunes filles qui vivent pour lui, des hommes et des femmes décidés pour Jésus !

Pour cela, il nous appartient de connaître ses pensées et de s’y conformer. Tous les héros, de tous les temps, ont su renoncer à leur confort personnel pour servir leur roi, leur maître, leur patrie ! Il en va exactement de même avec nous. Le service du roi Jésus demande de la discipline dans la piété, du courage dans la foi, de la volonté dans nos choix. Ce passage de la Bible nous donne un ordre et en même temps un avertissement :

• « Fuis les passions » (2/22) :

il ne s’agit pas forcément ici de dénoncer des choses très graves dans la vie des disciples et de Timothée en particulier.

La passion peut prendre tellement de formes, parfois presque insignifiantes ; ce n’est pas l’objet de la passion qui est dangereux, mais le sentiment de la passion, quel qu’en soit l’objet ! Elle finira par nous prendre tout notre temps, même celui qui est réservé à Dieu. Le vrai héros sait dire non à la passion, et il a raison.

• « Sois doux et humble » (2/24-25) :

Pour que Dieu puisse nous utiliser de mieux en mieux et de plus en plus, cherchons sincèrement à acquérir ses qualités spirituelles avec l’aide du Saint-Esprit, puisqu’elles sont indispensables aux héros spirituels que vous et moi sommes appelés à être. Quelqu’un me dira : « Vous trouvez cela héroïque d’être doux et humble ? ». Il n’y a que les forts qui puissent vivre ainsi dans un monde de faiblesse où la violence est préconisée comme remède aux problèmes !

Soyons les héros que Dieu recherche et nous serons bénis et en bénédiction.

Stéphane QUERY

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

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Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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