Moïse fait paître le troupeau de son beau-père, lorsqu’il a une vision étrange : un buisson en feu qui ne se consume point. Soudain, une voix l’interpelle. C’est celle de Dieu, et ses paroles sont des paroles de réconfort et d’espérance. Tel est notre Dieu. Il parle, il communique avec les hommes pour leur manifester ses pensées, ses intentions.
L’Éternel dit : « J’ai vu ». Dieu voit et prête attention aux hommes, même à ceux que personne ne considère. Aujourd’hui, on n’existe pas ; c’est la loi cruelle des médias. L’Éternel a vu ce berger insignifiant, issu d’un peuple esclave. Il a vu sa situation et celle de son peuple, et il n’est pas resté insensible. Cher ami, le regard plein d’amour de Dieu vous suit. Vous avez de la valeur à ses yeux, et il connaît vos peines.
Ensuite, Dieu déclare : « J’ai entendu ». Il n’est pas sourd. Certains sont fiers d’avoir l’oreille des puissants, et par ce fait d’avoir une aide dans leurs affaires. Mais si l’enfant de Dieu n’a pas accès aux palais de ce monde, il a néanmoins l’oreille de Dieu. Cher ami, qu’importe si les hommes vous ignorent. Le Créateur des cieux et de la terre vous écoute, et lui, il peut vous aider.
Enfin, L’Éternel dit : « Je connais ». Dieu n’a pas de limites dans la connaissance. Être connu et reconnu est important pour les hommes, qui peuvent parfois se vanter d’un carnet d’adresses très garni. Cher ami, la Parole de Dieu nous dit bien plus :
« Mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu (Galates 4:9) ».
C’est auprès de ce Dieu qui nous voit, qui nous entend et qui nous connaît que nos cris se transforment en chants de louange, l’oppression en liberté et la souffrance en paix parfaite.
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