Les guerres de David !

Lecture : Psaume 144/1

Ce chef militaire laissait à Dieu l’occasion d’influencer sa vie et de choisir les combats qui seraient les siens. Il avait raison, faisons-en autant.

– La guerre où David aurait mieux fait d’aller (2 Samuel 11/1) : Quel dommage que ce jour-là, dans cette période-là, David n’ait pas laissé au Seigneur l’occasion de lui indiquer sa volonté parfaite ! Il y a des périodes où nous avons, à tort, l’impression de pouvoir diriger seul notre vie. Funeste erreur !

– (1 Samuel 29/4-5) : La guerre où il ne devait pas aller. Qu’aurait-il fait là, à combattre son peuple, à s’allier avec les ennemis ancestraux ? Il y a des combats dans ce monde où les chrétiens authentiques n’ont rien à faire.

– Dieu savait pourquoi il ne devait pas aller à ce qui précède, parce que 1 Samuel 30/1-2 nous parle d’une guerre imprévue, dure comme tous les combats. C’est là que Dieu va le mener à la victoire sur l’adversité imprévisible. Heureusement que son Seigneur conduisait sa vie, sinon David se serait trompé de guerre !

– La guerre trop personnelle où l’on ne voulut pas de David (2 Samuel 18/2-3) : Ne nous trompons jamais de combat : il y a des conflits où nous n’avons rien à faire, parce que trop concernés. Et puis tout roi qu’il était, il savait reconnaître la voix de Dieu au travers des conseils des autres.

– Enfin la guerre où David aurait mieux fait de ne pas aller (2 Samuel 21/15-17) : Fatigué, un géant va tâcher de le tuer et manquera son coup de si peu. La fatigue spirituelle, l’épuisement moral et même la lassitude physique nous invitent à la sagesse et au vrai repos qui est en Jésus. Laissons-le combattre pour nous, il le fait si bien !

S.F

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

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Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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