LA FETE POUR QUI ?

PLAN DE LECTURE QUOTIDIENNE :
Marc 7/1-23 ; Lévitique 19, 20 ; Psaumes 120 à 123
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Lecture : 1 Corinthiens 5/6 à 8
« LA FETE POUR QUI ? »

La Pâque est une fête que Dieu avait ordonnée à son peuple ; on trouve trace de cet ordre dans l’Ancien Testament. C’était pour Israël l’occasion de se réjouir, de rendre des actions de grâce à ce Dieu qui les avait délivrés du joug pénible des Egyptiens. C’était un jour de fête !

Ils se souvenaient de la signification du mot « Pâque » (l’action de passer, d’épargner), de cet agneau offert, de ce sang placé sur les linteaux des portes. Pourtant, Pâque n’a pas été un jour de fête pour Jésus, lorsqu’il dut offrir son corps en sacrifice, lorsqu’il fut attaché à la croix, ses mains et ses pieds cloués. Pour Dieu non plus, ce jour inaugural de la Pâque chrétienne n’a pas été un jour de fête. Voir son Fils bien-aimé souffrir à cause du péché des hommes. Jésus, le juste, meurt pour des injustes (Esaïe 53/5).

Trois jours après pourtant, ce sera la fête glorieuse de la résurrection, de la vie qui reprend ses droits, du péché perdant son pouvoir, de la mort vaincue, du diable écrasé, de la peur terrassée, du ciel grand ouvert, du tombeau vide ! On a un tout petit aperçu de la fête qui eut lieu dans le ciel ce jour-là : « Portes, élevez vos linteaux, élevez-vous portes éternelles, que le roi de gloire fasse son entrée ! (Psaume 24/7) ».

Aujourd’hui, cher lecteur, ce n’est peut-être pas la fête pour toi. Tu es malade, dépressif, seul, malheureux, affligé, sans aucun avenir… Pourtant, tout peut changer, tu peux sortir de ton tombeau en laissant Jésus le Roi de gloire faire son entrée dans ta vie. Laisse-le te bénir, te sauver, te pardonner, guérir ton âme et ton corps.

La fête, la vraie, la durable, c’est que Jésus vive dans ton cœur jour après jour !

Eric LEFEBVRE

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

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Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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