Ne vend-on pas, a dit Jésus, deux passereaux pour un sou et cinq passereaux pour deux sous ?

Lecture : Luc 12/6 à 7 ; Matthieu 10/29 à 31

Deux pites faisaient un quart de sou (Marc 12/42), et un sou faisait huit pites. La pite était, en ce temps-là, la plus petite valeur monétaire.

Il semble que, par ces faits rapportés, le passereau n’avait que peu de valeur aux yeux de l’habitant ; peut-être parce que trop nombreux dans le pays. Mais cet oiseau avait de la valeur aux yeux du Créateur : Il n’en tombe pas un à terre sans la volonté du Père céleste. Aucun d’eux n’est oublié devant Dieu.

« Ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans les greniers ; le Père céleste les nourrit (Matthieu 6/26) ».

Amis, nous n’avons peut-être  pas beaucoup de valeur aux yeux de certains parce que nous n’avons pas les mêmes capacités, connaissances, opinions, distractions, objectifs, projets, espérances…, mais nous sommes précieux aux yeux de notre Père céleste parce qu’il s’est révélé à nous, en Jésus-Christ, alors que nous étions dans les ténèbres du péché. La mort de Jésus sur la croix nous le prouve.

Dieu dit :

• « Invoque-moi, je te répondrai ; je t’annoncerai de grandes choses (Jérémie 33/3) »

• « Je suis avec vous tous les jours (Matthieu 28/20) »

• « je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point (Hébreux 13/5) »

Ne craignons pas, nous valons plus que beaucoup de passereaux.

Max HASCOET

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