L’enfer, le paradis, Confucius et l’évangile

Lecture : Jean 13/34

Dans la tradition orientale, on raconte qu’une certaine nuit, Confucius fit un rêve et il fut transporté en Enfer ! Là, il y vit des damnés qui étaient en face d’immenses tables d’abondance garnies, remplies de mets plus succulents les uns que les autres : tout ce qui existe de meilleur était là. Une seule condition était posée aux gens peuplant le lieu maudit : manger tout ce qu’ils voulaient avec des baguettes d’un mètre cinquante de long. Tous étaient en train de mourir de faim devant ces tables richement remplies.

Dans le même songe, on emmena Confucius au Paradis. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir des tables remplies de mets délicats, etc. Et là aussi, une seule condition à remplir pour se nourrir grassement : manger avec des baguettes d’un mètre cinquante de long. Mais là-haut personne ne mourait de faim ! Les gens se réjouissaient profondément, parce qu’ils avaient compris le secret : se donner à manger les uns aux autres !

Sartre a écrit : « L’Enfer, c’est les autres. » L’Évangile dit que non ; L’Enfer est le lieu de tourments réservé aux pécheurs sans Dieu et décrit dans Luc 16/23.

C’est l’Esprit du ciel, la mentalité bénie de Dieu que d’apprendre à nous aimer les uns les autres. C’est impossible à notre nature. Mais le Saint-Esprit répandu dans nos cœurs va nous aider à vivre l’ordre de Jésus. Qu’il nous aide à aimer nos familles, nos amis, raisonnablement. Mais aussi nos ennemis, ce qui est vraiment hors de notre portée sur un plan naturel.

SF

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