La joie

Lecture : Galates 5/22

• Les vertus de la joie (Proverbes 17/22).

« Un cœur joyeux est un bon remède ».

Cette parole montre tout d’abord que la joie du Seigneur en nous est le seul bon moyen de guérir de notre mal-être. Ce verset montre aussi que la joie de Dieu contient de nombreuses vertus qui influenceront notre vie (notre propre épanouissement, notre vie relationnelle avec Dieu, avec nos frères et nos sœurs, au sein de notre famille…).

• Le secret de la joie véritable (Psaume 34/6).

« Quand on tourne vers lui les regards ».

Voici le secret : la prière. La prière nous conduira à recevoir la joie du Seigneur.

• La joie du salut.

Tout au long du livre des Actes, cette joie est omniprésente. La joie des premiers chrétiens, la joie dans la ville de Samarie (où pourtant régnait une énorme détresse), la joie des païens à l’écoute de l’Évangile, la joie du geôlier…

• La joie de la communion avec Jésus :

La joie parfaite (Jean 15/9 à 11).

« Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite ».

Lorsque Jésus dit « ces choses », il fait allusion aux paroles précédentes où il est question de la communion du chrétien avec son Seigneur.

• La joie par le Saint-Esprit (Luc 10/21).

Au cours de notre relation avec Dieu, le Saint-Esprit prend de ce qui est à Jésus et nous le communique.

• La joie des œuvres accomplies par Dieu (Actes 15/3).

• La joie de la vie de l’Église (Psaume 122/1).

« Soyez toujours joyeux » (1 Thessaloniciens 5/16).

Jean-Marc TCHERKECHIAN

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

Quel est donc celui-ci ?

Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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