Jésus avec vous

Texte Biblique : Actes 10/38

Jésus a secouru tous ceux qui lui ont demandé son aide ou qui ont été en contact avec lui, excepté les hypocrites.

• Combien de malades, souffrant d’affections diverses, ont-ils été réconfortés par Jésus ? Oh ! Ils sont nombreux, très nombreux, à avoir été guéris par la puissance de Dieu.

• Combien de pauvres créatures, agitées par des démons d’impureté, ou liées lamentablement par des forces occultes et terribles, n’ont-elles pas, elles aussi, été réconfortées par Jésus, au point d’être totalement délivrées et rendues à une vie paisible et normale ?

• Combien de pauvres, de malheureux, de déçus, n’ont-ils pas trouvé du réconfort par les paroles et la présence de Jésus, qui n’a jamais repoussé ceux qui venaient à lui, avec sincérité ? Le jour ou la nuit, avec la foule comme avec une seule personne, dans les maisons ou les déserts, au temple ou dans les synagogues, Jésus a toujours cherché à réconforter les hommes…

Et depuis qu’il est mort sur la Croix pour nous sauver et qu’il est sorti vivant du tombeau, au matin de Pâques, il n’a pas cessé de réconforter les hommes, comme autrefois.

Aujourd’hui encore, des multitudes sont soulagées de fardeaux qui les écrasent moralement, sont délivrées de mauvaises habitudes qui ruinent leur santé, leurs craintes s’évanouissent et le sentiment de solitude qui les ronge est enlevé, leurs nombreux péchés sont effacés.

Qui fait cela pour eux ? Jésus ! Le connaissez-vous ? Le connaissez-vous bien ? (Lisez les évangiles, demandez-lui de vous aider).

André PINGUET

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

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Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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