Lecture : Psaume 41/5

Lors d’une soirée d’évangélisation, à la fin de la réunion, le prédicateur qui, croyant avoir reconnu un ami de dos, lui mit la main sur l’épaule et lui posa cette question : « Alors, comment va ton âme ? » L’homme surpris, se retourna et ne répondit rien au prédicateur qui avait fait erreur sur la personne.

Un an plus tard, ce même homme retourna écouter le prédicateur qui venait une nouvelle fois dans sa ville. Cette fois, c’est lui qui interpella l’évangéliste en secret : « Bonjour, frère, vous me reconnaissez ?  Non, désolé ! répondit le prédicateur un peu gêné. Mais si, répondit l’autre, j’ai assisté pour la première fois de ma vie à une réunion l’an dernier et vous êtes venu vers moi, croyant que j’étais un de vos proches, vous m’aviez posé cette question : Comment va ton âme ?

Cette question a transpercé mon cœur et mon âme, parce qu’en réalité, ce jour-là, mon âme n’allait pas bien ; j’étais triste et malheureux, ma vie n’avait plus de sens. Mais cette question m’a permis de réfléchir sur l’état de ma vie et j’ai par la suite décidé de continuer à venir dans cette Eglise Evangélique. »
Quelques temps  plus tard, j’ai accepté le Christ comme Sauveur personnel et suis passé par les eaux du baptême.

« Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Eternel et il m’a délivré » (2 Samuel 22/7).

Ami lecteur, vous qui êtes en train de lire ces quelques lignes, réalisez la portée de cette question : « Comment va ton âme ? » Et si la réponse est négative, c’est que votre âme n’est pas en bonne santé ! Alors, invoquez l’Eternel, et cherchez-le.

« Appliquez maintenant votre cœur et votre âme à chercher l’Eternel » (1 Chroniques 22/19).

F. D.