Car ta bonté vaut mieux que la vie

Lecture : Psaume 63/4

Il y a quelques années, je me levai et me sentis tout de suite très mal. Je pris le temps de prier, comme à l’accoutumée. Mais mon état empira rapidement et de manière inquiétante. Très vite, je ne « savais plus parler normalement », j’étais incapable de lire. Je fus hospitalisée dans cet état critique. On diagnostiqua un mal rare et très grave, une encéphalite herpétique.

Pendant un mois, je restai à l’hôpital, et l’incertitude du pronostic quant à mes possibilités de « m’en sortir » était grande. Je me souviens que le Seigneur Jésus m’a fait comprendre que je pouvais vivre ou mourir, je lui ai répondu de tout mon cœur : « Que ta volonté soit faite ! »

Au bout de ce temps, après que ma famille, mes proches, mon Église, eurent prié pour moi, je retrouvai l’usage normal de la parole et pus de nouveau écrire. Les médecins furent très surpris de cette évolution heureuse de ma santé. Néanmoins, ils pensaient que je devrais vivre toute ma vie avec un traitement. Mais je veux donner gloire à Dieu, de ce que par Jésus, il m’a entièrement guérie puisque je n’ai jamais eu besoin de prendre le moindre médicament et que, contrairement à ce que la science disait, je n’ai connu aucune rechute et me porte si bien !

J’aime Jésus de tout mon cœur, car il a entendu ma voix et mes supplications ; il s’est penché sur ma petite vie ; je veux l’invoquer toute ma vie. Le Seigneur est plein de bonté et de miséricorde ! Je loue Jésus de ce qu’il m’a totalement guérie. Avec moi, espérez en lui ! Pour ma part, je veux l’adorer toute ma vie.

Transmis par SF

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

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Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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