Appelés, aimés, gardés

Lecture : Jude 1 et 2

Dans ses salutations, Jude adresse à ses lecteurs un triple encouragement encore capable de ranimer la foi vacillante de l’un d’entre nous aujourd’hui.
A ceux qui sont appelés-Quel glorieux jour que celui où, dans notre vie, a retenti l’appel venant de la Croix ! Cet appel nous a conduits jusqu’au Seigneur pour vivre dans sa présence. Dieu ne se repent pas de cet appel salutaire et Jésus dira à ses disciples :

« Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis ».

Sa grâce consiste à savoir qu’il nous a appelés le premier malgré notre état de péché.
…aimés de Dieu le Père-La motivation de l’appel divin tient dans cette magnifique affirmation de l’Ecriture :

« Dieu est amour » (1 Jean 4/16).

Comme un père qui désire communiquer avec son enfant ne va pas rester distant et froid, ainsi le Père s’est approché de nous par son Fils et nous avons pu goûter à son amour. L’amour divin ne fait pas de toi seulement une créature nouvelle, mais un enfant du Père !
…gardés pour Jésus-Christ même si les circonstances de la vie pouvaient nous faire parfois douter, nous sommes sous haute surveillance ! Il est question de la fidélité invariable de celui qui nous a appelés et aimés. Nous sommes gardés pour le grand jour de son avènement. Bien sûr, cette garde céleste ne nous dispense pas de veiller et prier selon le mot d’ordre du Seigneur (Marc 13/33). Par conséquent, tout ira bien car :

« Maintenant vous êtes retournés vers le berger et le gardien de vos âmes » (1 Pierre 2/25).

Appelés, aimés et gardés, quelle sécurité ! Bien-aimé, que cette vérité se grave à toujours dans ton cœur et ton esprit, afin de poursuivre plein d’assurance le chemin tracé.

Pierre DREVON

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La plus belle récompense

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Certains peuvent être surpris par ces paroles : « Des fils sont un héritage », donc un enrichissement, « le fruit des entrailles est une récompense », donc un sujet de joie, de fierté.

Quel est donc celui-ci ?

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Pendant la traversée, alors que rien ne le laissait présager, un grand tourbillon s’éleva et menaça l’embarcation.

Tout est accompli !

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Dans le texte original, c’est un seul mot qui est traduit ici : tout est accompli. Ce mot était utilisé par un serviteur qui faisait un rapport à son maître après l’achèvement d’une tâche. Il voulait dire : l’œuvre que tu m’as confiée est terminée.

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